top of page

Mes conseils ......

Lionel 1 et José étaient sur le lac en canoé à dorer au soleil et observer les gallinacés.

Guy est passé faire un petit test de pièces pour un mât.

Quant à Claude, Ibrahim, Franck, Paco, Gabrielle et moi-même étions en plein cours théorique au CAL :

-Explications de départ (ligne de départ), pénalités, disqualification (corne de brume) etc…

-Apprentissage de drapeaux (les 5 minutes)

- Explications de positionnement de bateaux lors des régates par rapport à la bouée, le sens du vent (sous le vent)et surtout la position des bateaux (à savoir qui est prioritaire) loin de la bouée ou à proximité.

-Exemples concrets de situations

On grée un bateau quand on va à l’eau.

Pour ma part, je ne me suis jamais entrainée « avant ».

On apprend sur le tas, d’où l’obligation de gréer à chaque fois. Chaque bateau a ses nuances en matière de gréement.

Il faut impérativement, Jérôme, que tu viennes au moins 3/4 fois à 13H30.

A 15H, on doit déjà être à l’eau, notamment en automne (vent plus froid, nuit qui tombe plus vite donc moins longtemps sur l’eau car nécessité de dégréer, on ne le fait pas en pleine nuit).

En terme de navigation « autonome », tout dépend de la personne. Quand elle se sent prête… J’ai mis au moins 6 mois avant de me lancer.

On a tous, plus ou moins, des appréhensions.

Et j’avais surtout envie de changer de la Caravelle.

Mais la caravelle est un bateau sécuritaire pour des débutants (lourd et stable).

Tu dois passer par là avec Jean-Luc.

Certains, d’ailleurs, pour déconner envisageait pour moi un optimist. Sacrés farceurs !!

Et puis avant de prendre la barre, je suis restée un certain temps « bloquée » au foc. Mais je le voulais.

Mais grâce à une régate « Femmes à la barre », j’ai dû me foutre un coup de pied aux fesses pour évoluer.

Les voileux « complétement givrés » voulaient que je fasse cette régate alors que je barrais péniblement depuis 3 fois seulement de ma vie.

Certains ont dû s’arracher les cheveux, se mordre la lèvre inférieure… vu d’où je partais.

Bon, étant donnée que je suis pas mal « agitée du bocal, je me suis lancée et je ne regrette pas.

Concernant la barre, ça va nettement mieux maintenant mais je dois absolument devenir amie-amie avec le stick.

Et plus on navigue, plus on comprend l’intérêt du stick, plus on comprend l’intérêt de son positionnement dans le bateau (plus vers le milieu-avant du bateau quand on est barreur).

Bref, ça peut s’apprendre dans les livres, mais ça se vit surtout, Jérôme.

Si léger vent, peu de risque… oui mais on n’apprend rien car le bateau est quasiment statique (force1) et cela ne ressemble à rien aux sensations qu’on peut avoir force (4/5).

Mais pour les « vrais débutants » (parole de « débutante confirmée sur 420, merci L2 !:)), il vaut mieux à mon sens que tu commences sur un bateau en dériveur double avec un force 2/3, tranquillement. Histoire d’avancer sur l’eau sans trop se faire peur au début.

Sinon, il faut que tu aies nos numéros et passe un coup de fil vers 12h pour savoir qui fait quoi et qui vient. En milieu de semaine, on peut décider d’être sur un bateau et à la dernière minute, on ne vient plus. C’est possible.

Recent Posts
Archive
Pas encore de mots-clés.
Search By Tags
bottom of page